ASSOCIATION DU
VAJRA TRIOMPHANT
Cité Sainte de Mandarom Shambhasalem
Siège Mondial de la Religion Aumiste
La Baume  04120  Castellane  France

POUR EN FINIR AVEC LA CALOMNIE DES " VIOLS "

(attention, les documents (article de journal, procès verbal d'instruction, mémoire en défense) sont reproduits au mot à mot, en conservant les fautes de français et d'orthographe. Tous ces documents sont déposés chez un Huissier de Justice, disponibes sur simple demande)

Première apparition de la calomnie dans le Journal LA CROIX du 29 janvier 1993
" Le témoignage de Mme E :
Mme E.... est donc restée vingt ans au service du " Seigneur "... Je fus admis dans le cercle privé de sa demeure de 1984 à 1990.... Je ne cherche pas à lui nuire, affirme t'elle, sincèrement. Mais le souci de dire ce qu'elle sait est plus fort : " Je ne pense pas qu'il y ait eu de problème de drogue, comme la rumeur l'a laissé supposer. Je puis affirmer en revanche que se pratique une exploitation sexuelle. Des centaines de femmes ont été sollicitées sexuellement. Le maître laisse valoir la nécessité de séances initiatiques. Comment expliquer autrement la quantité invraisemblable de divorces chez les couples qui ont fréquenté le MANDAROM ?

L'ASSOCIATION DES CHEVALIERS DU LOTUS D'OR QUI EN 1993, S'OCCUPAIT DU MANDAROM A ATTAQUE EN DIFFAMATION LE JOURNAL LA CROIX

Madame E ... citée en témoin par le journaliste ne s'est pas présentée à la barre, ni aucune autre femme d'ailleurs. Le Père Trousselard et R. Ferrato (pseudo écologiste) sont venus témoigner pour les femmes "exploitées sexuellement", lors de l'audience publique du 1er juin 1993.


JUGEMENT DU TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE PARIS DU 25 OCTOBRE 1993

LA DIFFAMATION EST RECONNUE

Extrait du jugement :

"Le relation du témoignage de Madame E. est poursuivie par le Journalisme dans le dernier passage incriminée de l'Article :Il concerne les pratiques sexuelles qui ont lieu au " MANDAROM " ; Les femmes y seraient " exploitées sexuellement " ...Une centaine d'entre elles auraient été sollicitées, le Maître faisant valoir la " nécessité " de séances initiatiques.En faisant état de ce témoignage, le journaliste impute à G. Bourdin un comportement répréhensible consistant à abuser de la faiblesse ou de la naïveté de femmes en leur imposant des relations sexuelles sans qu'elles soient réellement consentantes. Tout en leur présentant ces pratiques comme nécessaires à leurs progression spirituelle.Une telle imputation vise non seulement Gilbert Bourdin mais également les membres de la Communauté qui ne réagiraient pas à de tels abus, qui, par leur passivité seraient en quelque sorte complices de ces faits ou qui par leur absence de caractère verraient leur couple familial détruit . "Le caractère diffamatoire envers l'Association des Chevaliers du Lotus d'Or de l'ensemble de ces propos est donc établie."


PROCES VERBAL D'INTERROGATOIRE CONFRONTATION DU 25 JANVIER 1996 devant le juge B. FRERY entre Mme B. et Mme L.

Extrait du procès verbal :

Madame L ..."C'est un de mes clients qui a vu ces panneaux. J'estime diffamée parce que ces panneaux me citent et évoquent les violées du monastère. Dans aucun rapport, soit de police, article de journal je n'ai signalée avoir été violée"
Toujours Mme L."J'ai effectivement parlé au journaliste de LA CROIX, Madame E. c'est moi, mais c'est pas moi qui ai écrit l'article, c'est le journaliste. Je n'ai pas témoigné au procès de LA CROIX car le contenu de l'article défend mes propos et ne correspond pas à ce que j'ai dit."
Toujours Mme L .."Je maintiens mes déclarations en ce qui concerne FERRATO, j'ai l'impression que M. FERRATO a un but partisan. J'ai l'impression aujourd'hui que ce que je souhaitais dire sur les sectes a été utilisé contre des hommes politiques locaux, c'est la cause de ma rupture avec FERRATO, et je n'ai plus de relations avec lui à cause de cela."


CE QUE LES MEDIA N'ONT JAMAIS PUBLIE

Plus de 350 femmes disciples de Sa Sainteté le Seigneur HAMSAH MANARAH outrées par ces calomnies ont témoigné pour démentir ces mensonges . Cela a été occulté par les média.

Voilà comment on détruit l'Honneur et la réputation d'un Homme de prière.


MEMOIRE EN DEFENSE DE Me A. BERAUD dans le cadre de l'Instruction menée contre l'INSTRUCTEUR SPIRITUEL DU MANDAROM (1997)

"Attendu qu'il convient de relever qu'il existe une première procédure instruite par la Gendarmerie de Toulon saisie des allégations de Florence RONCAGLIA.Qu'en effet le 9 novembre 1994, Monsieur Lévy substitut du parquet de la République du TGI de TOULON avait saisie la Brigade de recherche de la Compagnie de TOULON, afin de procéder à une enquête préliminaire sur la base d'un rapport établi par la DISS de TOULON, ce rapport concernant D. Georges et pouvait concernait ainsi des pratiques sur mineur.Ce service de gendarmerie va indiqué avoir été contacter par l'ADFI et FERRATO qui leur demande d'entendre Delcourt et les soeurs RONCAGLIA Florence et Nathalie.F. RONCAGLIA va dénoncer dans cette procédure comment elle fut violée avec l'acceptation tacite de sa mère, qui demeure toujours dans la Secte .... Elle fixe les faits dans les années 1984/1985.Ces services de gendarmerie vont occulter le débat sûrement parce qu'ils ne sont pas convaincu par la plaignante en renvoyant la procédure au magistrat mandant. Les services de gendarmerie du Var vont mener une enquête précise, qui une fois transmise au Parquet du Tribunal de Grande Instance de TOULON, fera l'objet d'un placement sans suite"
"C'est dires que les allégations mensongères de F. RONCAGLIA n'avaient convaincu personne et surtout pas les services de gendarmerie et de justice du Var. Que pensez donc de cette victime qui va changer de département et d'interlocuteur judiciaire pour mener à bien sa campagne de destruction."

F. RONCAGLIA est fortement médiatisée par TF1. Dès le début de l'année 1995, elle apparaît en femme voilée sur les plateaux de TF1 et se présente en femme violée.Sur la base de son témoignage l'Instructeur Spirituel du MANDAROM et 18 disciples sont arrêtés le 12 juin 1995. Certaines personnes arrêtées n'étaient pas membre du MANDAROM au moment des prétendus " viols ".A 6 heures du matin, le 12 juin 1995, B. NICOLAS, grand reporter à TF1 était devant le MANDAROM et avait ainsi des images uniques qui seront diffusées ensuite par tous les médias des centaines de fois.B. NICOLAS et F. RONCAGLIA vont écrire ensemble un Livre contre l'Instructeur Spirituel du MANDAROM.

Extrait de ce livre, révélant la vie dissolue de F. RONCAGLIA en Corse :

"Un autre grand soir sera ma première sortie dans une boîte de nuit, à Bastia en compagnie de mon cousin. Un lieu de perdition, inaccessible car inconcevable pour le chevalier que j'étais quelques semaines plus tôt. C'est mon cousin Qui m'a maquillée. " Durant l'instruction on retrouvera la trace de ce cousin qui était un proxénète. " Je suis dans la spirale des noctambules et papa, très compréhensif jusque là intervient :Florence, je pense que tu dépasses un peu la limite du raisonnable, tu devrais plutôt essayer de trouver un autre boulot, au lieu de te pavaner jour et nuit.Papa, raisonnable, je le suis depuis ma naissance, j'ai plus de 18 ans, et j'ai l'impression d'avoir dix ans de retard sur les jeunes de mon âge...".


F. RONCAGLIA, B. NICOLAS et TF1 Editions ont été condamnés par le Tribunal de Grande Instance de Nanterre, le 17/11/95 , pour avoir écrit et édité un Livre, contre l'Instructeur Spirituel du MANDAROM, bafouant la présomption d'innocence. Rattrapée par son passé, Florence RONCAGLIA, ancienne prostituée, a calomnié.

Les preuves de sa calomnie :
Elle ne connait pas :
1) la date des viols : 9 ans,14ans, puis 16 ans,
2) les tatouages sacrés qui couvrent le Corps de Sa Sainteté le Seigneur HAMSAH MANARAH,
3) les lieux des prétendus viols etc..
Le Livre rédigé avec B. NICOLAS, révèle que F. RONCAGLIA n'a jamais été violée par l'Instructeur Spirituel du MANDAROM.


Une question se pose : Pourquoi le juge B. FRERY qui a mené l'enquête a occulté tous les faits qui prouvaient l'innocence de l'Instructeur Spirituel du MANDAROM ?

Le Juge a laissé traîner l'instruction qui s'est terminée par un NON LIEU avec le décès de l'Instructeur Spirituel MANDAROM.

 
 

Association Loi 1901, déclarée à la Sous-Préfecture de Castellane (A.H.P) parue au J.O. le 9 août 1995
 
 

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